L’événement vient d’une union entre 5-0 Boardshop, le groupe citoyen À Pintendre, faut que ça bouge! et le vignoble Le Nordet. Après une première édition «remplie de succès», les organisateurs s’étaient entendus pour un retour de l’événement cette année.
«Ça a été un énorme succès encore une fois. Nous sommes très fiers. Nous n’avions pas énormément modifié la formule, mais les personnes étaient encore au rendez-vous cette année. Notre but est vraiment d’aller chercher des athlètes de partout au Québec et de les réunir à cette compétition et on a encore réussi cette année», a expliqué le copropriétaire de la boutique Five-0, Étienne Demers.
Pour cette édition, une cinquantaine de planchistes âgés de 12 à 50 ans ont pu participer à la compétition dans les catégories amateur et professionnel. Les spectateurs, eux, ont eu droit à de l’animation et certains kiosques.
En ce qui a trait aux résultats, dans la catégorie amateur, c’est Thomas Blanchette, de Saint-Apollinaire, qui a remporté les 1 000 $ de la compétition. La Lévisienne, Léonie Marcotte s’est quant à elle classée en quatrième position dans cette même catégorie. Du côté des professionnels, c’est Morgan Desjardins-Turgeon qui est monté sur la première marche du podium et qui a remporté les 1 500 $, alors que le Lévisien, Joel Normand, a terminé deuxième.
Retour assuré de l’événement
Au vu du succès de cet événement lors des deux dernières années, les organisateurs se sont entendus pour revenir l’année prochaine avec la même formule.
«À Pintendre, faut que ça bouge! nous a déjà gelés la période pour l’année prochaine. Ils nous ont dit que nous n’avions pas le choix de revenir avec une troisième édition puisque c’est un vrai succès. C’est certain qu’on a très hâte de revenir», a expliqué Étienne Demers.
Ce dernier explique aussi qu’il ne faut pas s’attendre à d’énormes changements lors de la prochaine édition. S’il affirme qu’ils aimeraient «bonifier les récompenses», il mentionne aussi que «le nombre maximum de participants est pratiquement déjà atteint».
«C’est certain que nous aimerions quand même changer quelques petites choses. Je pense notamment aux bourses que nous pourrions augmenter quelque peu. Puis, le but ultime serait de créer une catégorie féminine à l’avenir. On aimerait vraiment ça. Pour le reste, c’est difficile d’ajouter des choses. Nous, on veut vraiment que ça reste une compétition gratuite pour les participants, alors je ne m’attends pas à plusieurs modifications», a conclu Étienne Demers.